Voici une magnifique album que j’utilise 
On mène l’enquête au cours de la lecture à partir de plusieurs formes de récits: des bulles comme dans une B.D., une liste de suspects (comme un carnet de note du détective), des dialogues… Finalement, on apprendra qu’il est question d’un quiproquo…
Dans cet album, on parle aussi de solidarité entre habitants d’un même quartier et de complicité entre les personnages.
Les illustrations réalisées par Maud LENGLET sont très riches et le lien texte-image est important.
Elle utilise des collages à partir de plusieurs supports: des pages de magasines, des coloriages d’enfants, des photographies, des dessins découpés… et elle nous emporte dans un univers RETRO façon ambiance des années 50.
On y retrouve des clins d’œil à Charles Trénet, Maurice Chevalier et la bouteille de Ricqlès…
En plus du jeu s
ur la taille et la forme de la police d’écriture, on retrouve les mots du registre policier (encadrés en fond coloré dans le texte) sur la quatrième de couverture avec leur définition.
J’utiliserai cette dernière comme trace écrite et cette année, elle servira d’incitation pour la réalisation de la couverture du cahier de lexique (à retrouver ici).
On y trouve le lexique de l’enquête sous forme de petites étiquettes attachées à un trousseau de clés.
L’album n’est pour l’instant plus édité chez Casterman, je vous partage le tapuscrit.
J’ai exploité l’album il y a quelques années pour un parcours-lectures avec des CE1/CE2: Séquence et fiches élèves. Elle s’appuie sur les ressources proposées par les éditions Casterman.